Avec des modalités qui diffèrent selon les cas, il déclare consentir à toute une série d’obligations : vivre dans la pauvreté, observer la chasteté, accomplir scrupuleusement des exercices de piété, se mettre au service d’autrui et de Dieu.

J’y pense quand j’envoie des vœux de fin d’année. Je voudrais qu’ils soient autre chose qu’une formule de politesse vide et rituelle. J’aimerais qu’ils n’expriment pas seulement de vagues souhaits, mais qu’ils traduisent une véritable décision d’entretenir des relations bienveillantes avec ceux à qui on les adresse, de les écouter et de les aider, d’être proches d’eux, attentifs à leurs besoins et à leurs souffrances. On pourrait alors parler de « vœux pieux » […]