Les deux parties reconnaissent leurs torts dans la rupture de l’unité de l’Église au 16e siècle.
Le texte ne changera rien à la pratique des Églises, c’est-à-dire à la séparation eucharistique. Il s’agit en outre d’un document qui ne concerne que les luthériens et les catholiques romains, excluant dans une large mesure les autres traditions issues de la Réforme. Le texte a été préparé par la Commission luthéro-catholique romaine sur l’unité, sur mandat de la Fédération luthérienne mondiale (FLM) et du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens (CPPUC). […]