Elle remplace Ruth Bader Ginsburg qui s’est battue contre les discriminations sexistes et pour la reconnaissance des droits des femmes, en particulier sur l’avortement, pour lequel elle considérait que « le gouvernement n’a pas à faire ce choix pour une femme ».

Cette décision qui donne une nette majorité conservatrice à l’instance juridique suprême aux États-Unis, risque d’impacter la vie de millions d’Américaines et d’Américains, en particulier sur le droit à l’avortement.

A court terme, elle a été prise, dans la perspective des élections présidentielles, pour séduire la droite chrétienne, ceux qui s’auto-proclament « défenseurs de la vie »  (pro-Life) sur la question de l’avortement.

A long terme, il s’agit de revenir sur la position favorable au choix des […]