Une conseillère conjugale parle de spiritualité
Rachel Wolff est conseillère conjugale et familiale auprès de l'UEPAL. Elle raconte son parcours et parle de son métier en lien avec la religion.
Un contenu proposé par Radio Arc-en-Ciel
Publié le 27 novembre 2019
Après cinq ans de formation à la relation d’aide chrétienne, Rachel Wolff veut aller plus loin et s’investit dans une formation de conseillère conjugale. Elle obtient son diplôme en même temps que son divorce. Pour elle, ce parcours n’est pas anodin et l’a aidée dans son cheminement personnel.
Pourquoi est ce qu’on se choisit ? Comment est-ce qu’on se détache de son ego ? Comment améliore-t-on la vie affective de son enfant ?
Dans un couple nos inconscients s’attire, on espère que l’autre pourra nous apporter ce dont on a besoin, qu’il pourra penser une blessure. L’amour sera donc biaisé. Mais pour Rachel Wolff, l’amour est celui d’1 corinthien 13 : « L’amour est patient, il est plein de bonté; l’amour n’est pas envieux; l’amour ne se vante pas, il ne s’enfle pas d’orgueil, il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche pas son intérêt, il ne s’irrite pas, il ne soupçonne pas le mal, il ne se réjouit pas de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité; il pardonne tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout. L’amour ne meurt jamais. Les prophéties disparaîtront, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra. »
Pour Rachel Wolff, la spiritualité aide à se détacher de son ego.