Comme souvent Françoise Gernot a choisi un sujet aux marges de la philosophie classique , les esprits ce qui semble loin de toute pensée rationnelle. Et pourtant la philosophie est hantée par ces formes invisibles ainsi que les sociétés primitives étudiées en anthropologie. Si Spinoza n’y accorde aucun crédit, à Rome, au Japon les rituels tentaient de se concilier les esprits, donc…. faut-il renoncer à son incrédulité ou non ?