Cette pratique jusqu’ici plutôt anglo-saxonne arrive-t-elle en France ? Il y a plusieurs déclinaisons, sur les réseaux sociaux tout d’abord, avec l’exemple de Sleeping Giants, un site dénonçant les marques publiant sur des médias que l’organisation juge peu recommandables comme Breibart ou CNews. Il y a aussi la tentation d’exploiter institutionnellement cette pratique pour dénoncer la discrimination en entreprise notamment. Quelle est l’histoire du Name and Shame et quelle est son utilisation aujourd’hui ? Qui est amené à juger la faute ? Peut-on dénoncer des entreprises ou des individus ? Le Name and Shame est-il une forme de contre-pouvoir ?
La version podcast de l’émission est à écouter ici.