Claude Ruey, aujourd’hui en retraite de la vie politique, confie qu’en matière d’ordre public, il est pour la tolérance zéro. Entre un populisme outrageusement sécuritaire et un laxisme emprunt d’une tolérance naïve, l’ex parlementaire suisse plaide pour un juste milieu, digne des racines chrétiennes de l’Europe.