L’ancien Premier ministre, qui préside depuis 2019 la Fondation pour la mémoire de l’esclavage, est revenu durant cet entretien sur les actions et les réalisations de celle-ci en France et en Afrique. Jean-Marc Ayrault est lucide : “ La fondation n’a pas vocation à régler tous les problèmes“, explique-t-il. Elle se veut toutefois médiatrice dans ce processus de réconciliation des mémoires.
La Fondation est reconnue d’utilité publique, c’est-à-dire qu’elle est une institution privée et autonome, qui agit pour l’intérêt général et la cohésion nationale. Son action est soutenue par l’État et par des partenaires publics et privés qui partagent le projet et l’envie de transmettre l’histoire par la culture.
Une vidéo de Fréquence protestante