L’homme apparaît à même de modifier non seulement son cadre de vie avec des dispositifs techniques relevant de la physique et de la chimie, mais capable de modifier le vivant grâce aux avancées de la biologie de synthèse.
« Mon ancien collègue, Nicolas Bouleau, m’a proposé une série de trois dialogues autour de la manière dont j’investissais ma foi dans les questions d’écologie. Lui même est l’auteur d’un ouvrage : Ce que nature sait, La révolution combinatoire de la biologie et ses dangers (PUF, 2021). Notre deuxième entretien porte plus particulièrement sur son livre.
J’ai aimé ces moments de dialogue où mon collègue, ouvert à la foi sans partager ce que je crois, m’a poussé à expliciter mon point de vue. »