En écrivant que l’embellie de la Coupe du Monde risquait d’être brève, je ne pensais pas si bien dire. À peine les champions reçus sur le perron de l’Élysée et les enfants invités retournés chez eux, éclatait ce qui va devenir si vite « l’affaire Benalla », du nom de ce drôle de personnage qui prit plaisir à « jouer en vrai » aux gendarmes et aux manifestants, et à… frapper. Le tout devant des témoins armés, eux, non de matraques, mais de […]