Que faire face à la violence aveugle du terrorisme ? Antoine Nouis parle de la bonté de ceux qui prennent soin des autres.

Deux attentats en deux jours. À Marseille, un émigré clandestin à la dérive ; à Las Vegas, un retraité aisé. Le premier n’avait qu’un couteau, le second un armement lourd, ce qui explique la différence dans le nombre des victimes. Mais si nous considérons que chaque humain est un infini, en tuer deux est aussi monstrueux que cinquante-neuf. […]