En France, les musiciens pourront désormais prendre leurs contrebasses lors de leurs voyages en train TGV et TGV Inoui. La chanson virale « Sigma Boy » est devenue virale en quelques mois sur TikTok, mais attise également la polémique en Russie et jusqu’au Parlement européen. Enfin, à Montpellier, le zoo de Lunaret a accueilli trois la naissance de trois guépards, une première en Europe

Les contrebasses dans les TGV

La SNCF a annoncé jeudi 13 février que les voyageurs munis de contrebasses pourront désormais emporter leurs instruments sans risque de devoir payer une amende pour bagage encombrant. Jusqu’alors, les propriétaires d’un tel instrument devaient régler la somme de 130 euros. Dans les TGV Inoui, les contrebasses pourront être transportées « sous housse souple » et « ne doivent pas dépasser 1,95 mètre » (housse comprise), indiquent la compagnie ferroviaire et le ministère de la Culture, dans un communiqué commun, précise Le HuffPost. Il est également conseillé aux voyageurs musiciens de réserver des places « à proximité de leur instrument » et de « privilégier les trains circulant en période creuse ».

Le phénomène « Sigma Boy »

En l’espace de quatre mois, la chanson de Svetlana et Maria, deux fillettes russes de onze et douze ans, a été vue plus de 77 millions de fois sur YouTube. Le titre est même devenu viral sur TikTok et sa chorégraphie reprise en masse par les utilisateurs de la plateforme. Mais derrière ce titre, se cache une double polémique. D’une part, une association ultra-orthodoxe russe dénonce un single qui « sexualise les enfants ». De l’autre, une députée allemande de centre gauche a alerté le Parlement européen sur l’influence russe dissimulée derrière la chanson. Selon Radio France, « Sigma Boy » cartonne auprès des ados allemands et ukrainiens où le centre de lutte contre la désinformation affirme que la chanson est en train de devenir « un outil de guerre de l’information ».

Naissance de trois guépards au zoo de Montpellier

Le 24 janvier dernier, trois guépards – deux mâles et une femme – sont nés au zoo de Lunaret, à Montpellier. Leur mère avait déjà eu des triplés en 2021 et est elle-même née à Montpellier en 2018, rappelle ici Hérault. « À Montpellier, on a choisi de ne pas intervenir pendant leurs premières 48 heures, on observe seulement et ces deux jours passés, on effectue la première pesée, 550 grammes chacun, et on le fait chaque jour. Une perte de poids est le premier signe d’une maladie », confie le responsable animalier au média local. Midi Libre précise en outre que les jeunes triplés pourront être visibles par les visiteurs lors de la deuxième semaine des vacances de février.