« Un véritable séisme géopolitique, un tremblement de terre social, une secousse, un choc économique » vient de saisir le monde prédisant une catastrophe, un Vendredi Noir à la suite de la sortie de l’Angleterre de l’union Européenne ce 24 juin 2016. C’est l’Angleterre des pauvres, des laborieux, des besogneux contre les progressistes prônant un nouveau monde culturel et les golden boys des places financières qui ont choisi la rupture avec 60 années de construction Européenne.
Les Britanniques, le peuple Britannique plutôt, vient de lancer un message fort à toutes les nations, en acceptant de prendre son destin en main, en se libérant de la tutelle de la techno structure, de l’Europe fédéraliste qui impose à tous le diktat du pouvoir de la finance. Notez que pour plaider le « IN » les arguments financiers ont été largement promus. De fait nous devrions trouver, « inquiétant » justement que ce soient avant tout, les thèmes financiers qui soient ressortis et non les valeurs humanistes qui ont fondé les rapports pacifiés entre les peuples européens. […]