Ils sont 122 agents de la Caritas Jérusalem à continuer leur travail auprès des populations souffrantes dans la bande de Gaza, malgré des risques très importants.
« Nous continuons à évaluer la situation car nous ne voulons pas faire courir de risques à nos équipes : il est très dangereux d’opérer à Gaza, devenue une véritable zone de non-droit », témoigne Anton Asfar, directeur de la Caritas Jérusalem, au micro de Vatican News.
Les 10 unités médicales de la Caritas situées dans la bande de Gaza tentent de secourir une population démunie. Mais les ressources sont limitées : difficile de trouver des médicaments, de la nourriture ou même parfois de l’eau potable. En effet, depuis début mars, l’armée israélienne a bloqué l’arrivée de l’aide humanitaire, compliquant la tâche des organisations internationales comme Caritas.
Anton Asfar alerte également sur la propagation de maladies transmises par les moustiques, et décrit l’image bouleversante d’enfants contraints de fouiller les poubelles à la recherche de restes de […]