Aux côtés de partenaires comme l’Armée du Salut, Portes Ouvertes Internationales et l’Alliance évangélique italienne, l’Alliance évangélique mondiale (AEM) a multiplié les interventions en faveur des travailleurs domestiques, des communautés religieuses, des objecteurs de conscience et des chrétiens emprisonnés.

À Genève, à l’occasion de la 59ᵉ session du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, l’Alliance évangélique mondiale (AEM) a porté plusieurs plaidoyers majeurs, reflétant son engagement en faveur des droits humains et de la liberté religieuse à travers le monde.

Aux côtés de l’Armée du Salut et du réseau mondial pour la liberté (WFN), l’AEM a exhorté, le 23 juin, les États à ratifier la convention de l’Organisation internationale du travail sur le travail décent pour les travailleurs domestiques, pointant les formes contemporaines de traite et d’esclavage dissimulées sous l’apparence d’emplois légaux. « Les gouvernements doivent être tenus responsables », a martelé l’organisation évangélique, lors de cette prise de parole.

Le 27 juin, l’AEM, en partenariat avec Portes Ouvertes Internationales, s’est adressée au rapporteur spécial sur la situation des droits de l’homme au Burundi. Elle a demandé au gouvernement burundais de suspendre la mise en œuvre d’une loi controversée encadrant les groupes religieux, et à engager une consultation « authentique et inclusive » avec les chefs religieux du pays.

Lors de l’adoption des résultats de l’examen périodique universel (EPU) de l’Italie qui s’est tenue le 30 juin, l’AEM et l’Alliance évangélique italienne ont plaidé pour une législation plus équitable en matière de liberté religieuse, dénonçant les […]