En prenant cette décision, Donald Trump souhaite régler l’accumulation des arriérés américains auprès de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture. Mais également signifier la nécessité d’une réforme de cette agence de l’ONU et s’élever contre son « continuel travers anti-israélien ».
Dans la foulée, Israël a aussi annoncé son retrait, en raison de la place trop grande accordée aux Palestiniens. En effet, l’agence onusienne dont la mission est le classement de sites au patrimoine mondial a tendance à dériver vers la politique: elle a par exemple accueilli la Palestine comme un Etat à part entière en 2011 et rejeté le Kosovo quatre ans plus tard. […]