Depuis l’été dernier, Abdelkader peut enfin « respirer » plus paisiblement, sans plus craindre qu’arrive dans la boite aux lettres la « lettre de la Préfecture » les enjoignant, lui, sa petite sœur et ses parents, de repartir vers leur pays d’origine.
Il sourit maintenant. Il réagit positivement à toutes ces difficultés récentes si difficiles à endurer pour un enfant qui ne demandait qu’à aller à l’école alors qu’avec les siens il était sous le coup d’une expulsion. […]