Un mouvement qui «n’est pas une philosophie figée» mais «un équilibre personnel à trouver parmi l’existant, le possible et l’utopie réaliste» pour construire «une société qui serait fondée sur le non-pouvoir et non sur le pouvoir aux femmes ou à l’écoféminisme».
Depuis plusieurs semaines, au fil de mes lectures et de mes écoutes de podcasts, en revisitant un peu les 15 dernières années de ma vie, j’ai approfondi de façon inattendue mon rapport à l’écoféminisme et pour cela, je remercie chaleureusement les organisatrices et les organisateurs de la convention. Ce présent rapport n’a aucune intention de définir ou de circonscrire l’écoféminisme, ce qui serait contraire à la dynamique même du mouvement, mais plutôt d’expliciter en quoi, dans une vie de femme écologiste, féministe et croyante inclusive, l’écoféminisme propose des espaces et des ressources pensées pour […]