Avec l’obligation des gestes barrières et du port du masque nous serions entrés dans une sorte de nuit, car « on ne saurait conserver une vie morale et politique proprement humaine en rendant l’homme invisible et intouchable. » (p. 16). Pourquoi insister autant sur la nécessité de se voir, de dévisager l’en-visageable ? Parce qu’une société ne peut s’épanouir que si ceux qui la composent se font un minimum confiance et celle-ci est fondée sur ce que les auteurs nomment […]