C’est à Genève et à Zurich, deux villes parmi les plus chères du monde, que les «nouvelles communautés» semblent en croissance. Pour Gaël Brulé, sociologue à l’Université de Neuchâtel, «ces choix de vie sont en partie financiers et en lien avec le marché immobilier». Ce qui n’empêche pas, selon lui, une démarche motivée par une recherche accrue de sens. «On constate que ces démarches communautaires sont très souvent accompagnées de la possibilité de partager un potager, de relocaliser sa production alimentaire, de partager la garde des enfants, de réduire ou d’aménager son temps de travail.» Autant de phénomènes qui […]
La vie communautaire, une réponse aux pannes de notre société
Il s'agit parfois d'une profonde remise en question du travail qui n’a pas toujours de sens ou de modes de vie.