Les deux confinements ont entraîné un développement sans précédent du télétravail, souvent sans préparation.
Les périodes de confinement ont servi et servent encore de répétition générale pour la mise en œuvre d’un télétravail à grande échelle. Jusque là, cette forme d’organisation du travail n’était utilisée que par 10 à 20 % des salarié·e·s (selon des études, parfois anciennes). Pendant ces périodes, ce pourcentage a parfois atteint, dans certains secteurs, 80 à 90% et a révélé à la fois les difficultés, ou à tout le moins les interrogations, et les bénéfices que l’on peut tirer de ce mode de travail. Parce que, comme souvent lorsqu’il est question d‘organisation du travail, c’est le «en même temps» qui prévaut: pour chaque question soulevée, il y a des aspects positifs et d’autres plus négatifs pour celles et ceux qui travaillent.


