Je cite : « sous prétexte que l’usage de cette féminisation se répand. L’Académie “ souhaite conserver la neutralité des titres, pour que l’institution prévale toujours, jusque dans les noms de ses représentants, à propos de leur personne. La transcendance de l’institution est ici mise en avant. La transformation de l’usage met de fait en péril cette conception de la société ” ».
Je lui ai répondu que je suivais les consignes définies par la presse régionale protestante afin d’avoir une harmonisation entre les journaux, à savoir : « Féminisation des noms et écriture inclusive. Les noms sont féminisés : la pasteure, l’auteure, la conseillère…. Le pluriel : la marque du féminin ne sera plus mise entre parenthèses, mais avec un point : les pasteur·e·s, les employé·e·s, les chanteurs·euses, chacun·e… Idem pour les verbes : nous y sommes toutes et tous exposé·e·s ».
Je vous avoue que si je suis la consigne de la féminisation des noms sans problème, concernant l’écriture inclusive pour les pluriels, je ne l’applique pas systématiquement. Imaginez […]