Dans les recherches menées sur cette population grandissante, on s’est ainsi aperçu que les répondants de cette catégorie pouvaient appartenir à une large variété de philosophies pouvant admettre ou non l’existence d’un ou plusieurs dieux, reconnaître ou non la capacité de l’humain à répondre aux questions spirituelles, s’opposer ou non aux pratiques religieuses. Autant dire que sans religion ne veut pas forcément dire sans spiritualité!

Par ailleurs, ce relativisme grandissant concernant les convictions religieuses touche également les personnes religieuses! Plusieurs études de valeurs montrent qu’une proportion grandissante de croyants peut accepter des valeurs pourtant réfutées par l’orthodoxie de leur religion: par exemple des personnes déclarent à la fois être […]