Dans l’émission La grande librairie du 26 avril sur France 5, il a été question… de la Bible, de Dieu et de Jésus durant 1 heure 30. Quatre écrivains de renom étaient invités pour parler de leur livre. Éric-Emmanuel Schmitt a présenté Le défi de Jérusalem, un récit de voyage en Terre sainte édité chez Albin Michel ; André Comte-Sponville, La Clé des champs et autres impromptus, un recueil d’articles paru aux PUF. Ensuite, Éliette Abécassis et Néjib ont évoqué Sépher, l’épopée millénaire de la Bible, une histoire de la Bible en bande dessinée aux éditions Albin Michel ; et Metin Arditi, Le Bâtard de Jérusalem, un roman consacré à la vie de Jésus publié chez Grasset.
Alors qu’Éric-Emmanuel Schmitt a parlé de sa foi avec une expérience lors d’un pèlerinage, et Éliette Abécassis de son émerveillement devant les textes de la Torah qui ont survécu au temps, Metin Arditi a suscité une forte réaction avec sa vision totalement repensée, voire rocambolesque, de la vie de Jésus. Même l’athée qu’est André Comte-Sponville a dit cette jolie phrase : « Le Jésus qui m’importe est celui des Évangiles ».
À la fin de l’émission, j’ai eu un petit échange Whatsapp avec un ami de mon Église : « L’émission était ahurissante ! C’est Comte-Sponville qui défendait le plus sérieusement l’honnêteté des textes bibliques ! »
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