Nouvelle rencontre entre Emmanuel Macron et Giorgia Meloni à Rome

Selon le palais de l’Élysée, le chef de l’État français et la cheffe du gouvernement italien se sont parlé en marge des obsèques de l’ancien président italien Giorgio Napolitano, mardi 26 septembre. L’un et l’autre multiplient les déclarations d’apaisement alors que l’île italienne de Lampedusa continue de faire face à une arrivée de milliers de migrants, comme le précise Le Monde.

Corse, six mois pour trouver un accord

En visite en Corse, jeudi 28 septembre, Emmanuel Macron a proposé, devant l’assemblée de Corse, qu’“une nouvelle étape soit franchie” avec “l’entrée de la Corse” dans la Constitution française. Le président de la République souhaite avancer vers une “autonomie pour la Corse dans la République”, “ni contre l’État ni sans l’État”, détaille franceinfo. Pour y parvenir, il a donné un délai de “six mois” pour s’entendre sur un “texte constitutionnel”.

La crainte de crimes de guerre au Haut-Karabakh

Depuis la capitulation des autorités arméniennes, de nombreuses familles quittent le Haut-Karabakh. Vendredi 29 septembre, Erevan chiffrait à 89 000 le nombre de réfugiés pour 120 000 habitants de cette zone laissée à l’Azerbaïdjan. Parmi eux, beaucoup racontent la cruauté de cette guerre, souligne franceinfo. À ce propos, l’ambassadrice d’Arménie en France n’hésite pas à parler d’“épuration ethnique en cours, en temps réel sur les réseaux sociaux”, évoquant des “atrocités de masse” postées sur les réseaux sociaux azéris. Mais en l’absence d’observateurs internationaux sur place, il est difficile de vérifier ces informations et de replacer dans leur contexte les images qui circulent.

Tensions à la Nupes

Alors que vendredi, dans un courrier adressé aux écologistes et aux socialistes, Manuel Bompard, le coordinateur de La France insoumise, expliquait regretter “la décision de Fabien Roussel de quitter la Nupes”, le secrétaire général du PCF a démenti cette information dimanche 1er octobre dans Le Parisien. Ces nouvelles tensions font suite à des insultes lâchées par Jean-Luc Mélenchon.

Vers une “expérimentation d’ampleur” de l’uniforme à l’école ?

Interrogé sur Instagram par des internautes, Gabriel Attal, ministre de l’Éducation nationale, est revenu sur le sujet du port de l’uniforme à l’école. Comme le précise BFMTV, il a promis qu’il s’exprimerait en novembre pour indiquer les modalités de l’expérimentation de l’uniforme. Plusieurs personnalités de droite et d’extrême droite y sont favorables et Emmanuel Macron l’est aussi. En septembre, il affichait une préférence pour une “tenue unique”, composée d’une veste, d’un t-shirt et d’un jean, jugée “plus acceptable” car “un peu moins stricte”.