On pourrait parler aussi de crise du temps, du moment, puisque le moment où auront lieu… nos repas partagés, nos conférences et débats, nos fêtes d’anniversaires, nos déplacements et retrouvailles… ces nombreux moments sont floutés, reportés, rendez-vous devenus peu fiables et très relatifs.
Dans cette crise du temps et du lieu, le danger, c’est que nos personnes se laissent peu à peu désincarner. Et spécialement les jeunes, les étudiants, qui ont tellement besoin de vivre la substance de leur vie. Une forme sournoise de « à quoi bon ? » pourrait se substituer à tant de projets…
Là où se trouve chacun, chacune, l’évangile appelle pourtant à réinvestir la réalité de nos temps et de nos […]