Mais aucune victoire ne sera acclamée ce jour-là, aucune libération ne sera fêtée entre amis ou dans la rue. Car l’ennemi ne sera pas vaincu pour autant. Sournois et insidieux, la moindre erreur le fera repartir à l’assaut.
Pâques nous a vus devant nos télévisions ou à l’écoute de nos radios, à deux, trois personnes, voire seul·e. Qu’en sera-t-il pour l’Ascension ? Après le 11 mai, oserons-nous sortir et affronter cet ennemi invisible ? Le « Sortir » des Nouvelles des Églises, supplément du Protestant de l’Ouest, si riche habituellement en événements, est tristement vide ce mois-ci. La plupart des Églises ont déprogrammé leurs manifestations mais gardé les […]