Un engagement dans la résistance civile
Il est possible que leur tradition de pacifisme réfractaire à toute violence, de même que l’existence entre les deux guerres d’un courant favorable à l’objection de conscience, expliquent que la résistance proprement militaire fut relativement faible. Il n’y a pas eu véritablement de « maquis protestants », en dehors de quelques poches de résistance dans les Cévennes et le Tarn, où l’équivalence « camisards-maquisards » eut une véritable signification. […]