Je ne parle pas du contenu de la prédication qui délivre un message différent chaque dimanche mais de sa forme. Je pense aussi à la liturgie souvent prévisible, aux spontanés répétitifs, qui font que l’oubli d’un élément, par exemple la confession de foi, provoque une levée de boucliers.
J’exagère, me direz-vous. Il n’empêche que sous prétexte que certains paroissiens aiment retrouver le culte de leur enfance, rien ne bouge.
Et pourtant si, ça bouge ça et là. On ose un culte/croissants, un culte musical, un culte hors les murs…
Celui qui a inventé ce terme de « Culte autrement » est un génie car cette dénomination nous autorise à transgresser la tradition et à imaginer toutes sortes de formes de cultes. Certaines personnes sont plus visuelles ou artistiques, d’autres plus cérébrales, d’autres encore préfèrent l’échange autour d’un texte plutôt que d’écouter la prédication.. Alors pourquoi privilégier une seule forme d’expression ?
Tout est bon à prendre, à chaque Eglise de s’organiser pour […]
