Effectivement, la dureté de la vie semble être un paramètre quelque peu inévitable, un peu comme les accidents climatiques, les rhumes hivernaux, et autres contrariétés plus graves.

Peut-être nous faut-il relire les versets 7 à 9 du psaume 4 : Beaucoup demandent : « Qui nous fera voir le bonheur ? » Sur nous, Seigneur, que s’illumine ton visage ! Tu mets dans mon coeur plus de joie que toutes leurs vendanges et leurs moissons. Dans la paix moi aussi, je me couche et je dors, car tu me donnes d’habiter, Seigneur, seul, dans la confiance.
Psaume 4,7-9

Dans ce texte, c’est bien bonheur et joie qui sont articulés. Pour moi […]