Toutefois, son acceptation répond plutôt à un soucis d’unité avec les autres dénominations chrétiennes qu’à une conviction. Mandatée pour étudier la nouvelle terminologie, la Commission théologique du RES ne s’est pas montrée unanime sur la pertinence de cette modification, indique le communiqué du 4 décembre.

Si certains membres de la commission saluent la nouvelle traduction estimant «que Dieu ne tente pas» (Jacques ch. 1, v.13), d’autres appuient que la version actuelle s’accorde mieux avec le sens « d’épreuve/mise à l’épreuve » contenu dans le terme grec peirasmos. […]