Dieu a créé un monde interdépendant, dans lequel nous, les humains, ne pouvons survivre sans les écosystèmes indispensables qui nous fournissent la nourriture, l’eau, l’abri, le vêtement, le carburant et même l’air que nous respirons. Ce sont les démunis qui souffrent le plus du changement climatique et qui sont les plus dépendants des systèmes naturels qui les entourent. Stella Simiyu, botaniste au Kenya et membre du Conseil international de référence d’A Rocha, l’exprime ainsi : «Les pauvres de la campagne dépendent directement de ressources naturelles de base. C’est là que se trouvent leur pharmacie, leur supermarché, leur […]
Ne devrions-nous pas secourir les pauvres plutôt que nous préoccuper de la nature ?
Faire une distinction entre prendre soin des pauvres et prendre soin de la planète est une erreur.