A travers les années de l’Ancien Testament, nous nous sommes accrochés à l’espoir des prophéties d’un Messie. A travers le silence des années passées entre l’Ancien et le Nouveau Testament, nous nous sommes accrochés à l’espoir que Dieu n’avait pas oublié son peuple ou ses promesses.
Puis cette espérance a pris corps en la personne de Jésus et nous avons été témoins que Dieu s’était souvenu des appels de son peuple, confirmant que notre espérance n’était pas vaine.
Nous avons vu par nous-même que Jésus a enseigné et modelé le pardon et l’amour et qu’il a fêté avec des collecteurs d’impôts, dîné avec des pécheurs, parlé avec des femmes aux mœurs douteuses sans condamner personne. Nous avons observé un glorieux mélange de grâce et de vérité. Nous avons été pris d’admiration et d’émerveillement lorsque Jésus transforme l’eau en vin, rend la vue aux aveugles, fait marcher les boiteux, chasse les démons, guérit le lépreux et contrôle le vent et les vagues, et nous voyons par nous-mêmes la puissance inépuisable de Dieu.
La lumière était plus glorieuse que jamais et notre espoir atteignait de nouveaux sommets
Le Vendredi saint, l’espoir semblait avoir disparu lorsque la vie avait quitté le corps de Jésus. Cet homme irrésistible aux paraboles captivantes, à l’enseignement perspicace et aux miracles, capable d’influencer le tissu même de la société et des personnes au plus profond de leur être, avait été crucifié et placé dans un tombeau. On aurait dit que quelqu’un avait éteint la lumière et mis un voile sur notre espoir. Puis quelque chose de vraiment remarquable, qui a transformé la vie et changé le monde, s’est produit : la pierre avait été déplacée, les linges empilé – parce que Jésus était vivant ! La lumière était plus glorieuse que jamais et notre […]