Aurélie, je serais bien tenté de vous répondre en citant par exemple l’apôtre Paul, ce champion de la liberté chrétienne ! Confronté aux conduites aliénantes dans lesquelles s’enfermaient certains chrétiens, il écrivait : « Tout est permis, mais je ne me laisserai asservir par rien » (1 Corinthiens 6,12) ou bien « c’est pour la liberté que le Christ vous a libérés ; tenez donc fermes et ne vous remettez pas sous le joug de l’esclavage (Galates 5,1)…
Mais on ne délivre pas un passage biblique à quelqu’un qui souffre d’un mal, fût-ce une addiction, comme un médecin prescrirait un antibiotique contre telle ou telle infection ! Avant tout, c’est une relation bienveillante, tissée de confiance, sans jugement ni morale, qui aidera cet « accro » de votre entourage. Vous pouvez demander au Seigneur, en […]