Des sculptures géantes, à Paris
En février, deux expositions sont visibles gratuitement dans les rues de Paris. Les Juliogoths, les animaux colorés créés par l’artiste contemporain Julien Marinetti, sont à découvrir avenue George-V, dans sa partie la plus proche des Champs-Élysées. Visibles jusqu’au 16 mars, une dizaine de drôles d’animaux fusionnent la sculpture et la peinture. Les promeneurs croiseront notamment un bouledogue, un panda ou bien un hippopotame, indique le site Sortiraparis.
Les créations de Michel Bassompierre, elles, trônent également dans la rue. Installées boulevard Haussmann, les sculptures de l’exposition “Fragiles colosses” visent à sensibiliser le grand public au sort des espèces en voie de disparition, précise le site Arts in the City. Les œuvres du sculpteur sont visibles jusqu’au 31 mars.
Madeleine Riffaud, à Lyon
Le Centre d’histoire de la Résistance et de la Déportation de Lyon consacre une mini-exposition BD à Madeleine Riffaud. Résistante, poétesse et combattante, Madeleine Riffaud a fait l’objet d’une bande dessinée, dont le tome 1 raconte son engagement sous le nom de code “Rainer”. L’exposition a été conçue à partir de planches originales de l’ouvrage de Jean-David Morvan et Dominique Bertail. Elle présente également des objets et des documents d’archives issus des collections personnelles de Madeleine Riffaud et de celles de grands musées de la Résistance française.
La mini-exposition est visible jusqu’au 11 juin. Pour connaître toutes les informations pratiques, cliquez ici.
Dali ou Gaudi, à Bordeaux
Les Bassins des Lumières, à Bordeaux, présentent deux nouvelles expositions immersives. “Dalí, l’énigme sans fin” retrace plus de soixante années créatrices du maître catalan. Au fil d’un parcours thématique, les visiteurs se promènent dans les paysages surréalistes et métaphysiques de l’artiste à l’imagination sans limite. “Gaudí, architecte de l’imaginaire” complète en quelque sorte l’exposition consacrée à Dali. Antonio Gaudi a, en effet, été une source d’inspiration pour le peintre reconnaissable à sa moustache. Si les œuvres de Gaudi ont d’abord été qualifiées de fantasques et provocantes, ses bâtiments sont aujourd’hui classés au Patrimoine mondial de l’Unesco.
Pour connaître toutes les informations pratiques, cliquez ici.