Atelier des Lumières : “Tintin, l’aventure immersive”

Le plus célèbre des reporters débarque à Paris, à l’Atelier des Lumières. L’exposition Tintin, l’aventure immersive est ouverte depuis le 21 octobre. Elle est à découvrir jusqu’au 22 janvier 2023. Une création consacrée aux folles aventures de Tintin, promettant “une relecture singulière et immersive de l’œuvre d’Hergé”, écrit le site de ce centre d’art numérique. Histoire de se plonger ou de se replonger “dans l’univers créatif et frictionnel de l’un des plus grands auteurs de bande dessinée du XXe siècle.”

Fondation Henri Cartier-Bresson : “Réconciliation”

Depuis le 8 novembre, date à laquelle le lieu a rouvert après avoir fermé pour travaux, la Fondation Henri Cartier-Bresson, à Paris, accueille l’exposition Réconciliation. Une “réconciliation photographique entre Henri Cartier-Bresson et Martin Parr à travers un regard commun tourné vers l’Angleterre”, précise Polka. Car, comme le rappelle le magazine spécialisé, rien ne laissait présager un tel chassé-croisé, car Henri Cartier-Bresson, le cofondateur de l’agence Magnum, était vertement opposé à ce que le photographe britannique Martin Parr y dépose sa candidature en 1989. Mais finalement, ce dernier intégrera Magnum cinq ans plus tard. Ainsi, cette exposition, qui dure jusqu’au 12 février 2023, “réconcilie les deux photographes, qu’un ‘gouffre’ sépare comme Martin Parr le qualifie lui-même, à travers leurs regards, à trois époques différentes, sur la société du nord de l’Angleterre au travail comme lors de ses loisirs”, note le site de la fondation. 

Musée du Quai Branly – Jacques Chirac : “Kimono”

C’est un symbole japonais. Le kimono est un vêtement emblématique et caractéristique du Japon. C’est aujourd’hui un incontournable de la mode. Une tenue “qui transcende les catégories et les frontières”, indique le site du Musée du Quai Branly Jacques Chirac, qui y dédie une exposition depuis le 22 novembre et jusqu’au 28 mai 2023. Kimono retrace donc l’histoire de ce vêtement, apparu il y a plus de mille ans avant de devenir l’habit traditionnel au début de l’ère Edo (1603-1868), et en dresse un portrait “résolument moderne, à travers les siècles et les continents.