Thomas Anderson, qui ne se souvient visiblement de rien de ce qui s’est passé, ni de l’existence de la Matrice, est un concepteur de jeux vidéo, rendu célèbre par la création de son jeu révolutionnaire, en 1999 : Matrix. Il est en proie à des hallucinations et est suivi par un psychanalyste. Un jour, il rencontre un certain Morpheus, qui lui propose de choisir entre une pilule bleue et une pilule rouge…
Franchement, on ne l’attendait pas celui-là. Et quand l’information d’un nouveau film Matrix, près de 20 ans après le dernier opus de la trilogie, est sortie, j’avoue que j’étais un peu sceptique…. mais curieux ! Et le résultat est inespéré. J’ai trouvé que Matrix Resurrections était une formidable réussite, qui parvient, tout en jouant évidemment la carte de la nostalgie, à se renouveler et proposer un regard nouveau sur le monde la Matrice.
On y retrouve, bien-sûr, les ingrédients qui ont fait la renommée de cette saga culte de la pop culture : l’univers cyberpunk post-apocalyptique, les combats épiques et délirants (kung-fu, ralentis, explosions de tous les côtés, multiples assaillants), les longs dialogues philisophico-mystico-religieux (on peut même ajouter psychanalytique cette fois !), et les personnages mythiques de la saga. Bref, tout ce qu’on aime (ou qui agace, c’est selon…) dans Matrix ! Mais il y a quelque chose qui change tout […]