Le «Prix Farel» élargit la focale. Désormais on ne parlera plus du Festival du film à thématique religieuse mais du Festival International de film. spiritualité – éthique – religion. «Nous avons de plus en plus de films qui traitent de questions liées à la spiritualité et à l’éthique. On a adapté le nom du festival à la diversité que nous présentons», explique Cyril Dépraz, président de l’association du Prix Farel et organisateur du festival.

La récompense, elle, reste. Cette année encore, comme tous les deux ans depuis 1967 le «Prix Farel» est décerné à des productions originales sur l’existence humaine et sa quête de sens. Sur les 160 films que les programmateurs ont localisés, une trentaine de courts, moyens et longs métrages ont été sélectionnés par le comité du festival. Les films retenus doivent avoir un impact universel dans ce qu’ils montrent à voir tout en reflétant une culture singulière avec ses questionnements.

Un foisonnement de thèmes

Évidemment le Covid et le confinement contaminent la programmation. Dans leur film Je pense à toi, Marie Fourquet et Jean-Daniel Schneider suivent une prostituée lausannoise durant le confinement de mars 2020 au rythme des dizaines de sms de soutien qu’elle reçoit. Le premier message d’un client a donné son […]