L’épisode 1 s’ouvre sur une parodie de Justice League de Zach Snyder, avec une guest surprise, qui est très réussie et franchement drôle. La suite de l’épisode rappelle que la série n’a pas l’habitude de faire dans la dentelle et qu’elle assume un ton provocateur et trash qui ne peut pas plaire à tout le monde. Et puis il y a aussi le fameux épisode Herogasm, avec une convention de superhéros très… particulière. Un épisode qui a été extrêmement teasé par le showrunner de la série sur les réseaux sociaux, annoncé comme étant quelque chose qu’on n’a jamais vu mais qui m’a, finalement, un poil déçu.
Globalement, même si le show garde le cap de l’irrévérence et du trash, j’ai quand même trouvé que cette saison 3 cédait un peu à la facilité et tombait dans la surenchère sans trop se renouveler. Ceci dit, il y a toujours quelque chose de très réjouissant dans cette série qui tire sur tout ce qui bouge et qui, en dézinguant les figures intouchables des superhéros, pourfend les travers de l’Amérique post-Trumpiste. Car le propos est toujours politique et parle de pouvoir, de fric, d’image médiatique, de religion, de racisme, de […]