Thunderbolts, un film de Jake Schreier, avec Florence Pugh, Sebastian Stan, David Harbour
Et puis surtout, derrière cette histoire d’anti-superhéros qui se retrouvent à faire équipe malgré eux, il y a une volonté d’explorer une thématique plus profonde autour de la santé mentale.
Quelques super-héros peu fréquentables (Black Widow, Ghost, US Agent), travaillant secrètement pour la CIA, échappent à un piège mortel tendu par Valentina Allegra de Fontaine. Ils se retrouvent ensuite, avec quelques autres (Bucky Barnes et Red Guardian), à devoir faire équipe pour affronter un ennemi inattendu et redoutable.
J’avoue que ça fait depuis quelques films que j’ai décroché avec le MCU. Je me suis dit que Thunderbolts* pouvait être l’occasion d’essayer de renouer avec Marvel… et je ne regrette pas de l’avoir fait. Ce n’est certes pas un chef d’oeuvre mais c’est enfin un film Marvel qui, tout en étant un peu à l’ancienne (c’est un compliment : pas de multivers, ouf !), sort un peu de l’ordinaire.
On retrouve bien sûr le cocktail classique des films de super-héros, avec de l’action et de l’humour, et dans l’ensemble c’est plutôt efficace. Au niveau action, Yelena prend le lead, grâce au charisme de Florence Pugh. Pour l’humour, Red Guardian est en première ligne. De ce côté-là, le film fait le job et est plutôt bien rythmé.
Et puis surtout, derrière cette histoire d’anti-superhéros qui se retrouvent à faire équipe malgré eux, il y a une volonté d’explorer une thématique plus profonde. On n’est pas dans la réflexion métaphysique abyssale mais mine de rien, un des sujets centraux du film est la dépression et plus largement la […]