« Je n’aimerais pas qu’on en fasse n’importe quoi, mais c’est un voeu pieux. Celui qui l’achètera pourra en faire un dancing et on n’aura rien à dire. »

Et l’offre est alléchante puisque le prix demandé est de 1 €. L’abbé Michel Diricq a déjà reçu des offres et espère que le futur propriétaire « en fera bon usage ».

« L’église a été donnée en 1976 à la paroisse par les soeurs de la congrégation du Très-Saint-Sacrement pour un franc belge symbolique lorsqu’elles ont quitté les lieux. Mais c’était un cadeau empoisonné. »

Selon l’abbé, sa communauté « n’a pas les moyens de s’occuper de l’électricité, des assurances, de refaire la toiture, les vitraux ou […]