La mission des diaconesses de Saint-Loup est portée sur le soin de la personne «dans son entier», rappelle un communiqué de presse de la communauté. Cette dernière s’est réjouie début février que «tous les signaux soient au vert» pour le lancement des travaux de la nouvelle École de soins et santé communautaire (ESSC) qui regroupera sur ce site et augmentera les capacités cantonales de formation d’assistants ou d’assistantes en soins et santé communautaire ou d’aides en soins et accompagnement. Parallèlement, la communauté devient communauté élargie en accueillant des familles, des couples et des personnes célibataires. Neuf personnes ont ainsi été consacrées en mars pour un mandat de quatre ans renouvelable. Ces personnes vivent sur le site ou dans les environs et s’engagent pour la mission de soins et d’accueil soit en étant employées de la communauté, soit sur leur temps libre.
La communauté souhaite créer un esprit de village pour accueillir les personnes les plus fragilisées et «offrir un lieu de paix et de prière qui permettent aux patients de se restaurer», peut-on lire sur le site. Un esprit déjà renforcé par la présence d’une école: «l’École privée chrétienne de la Bergerie a déménagé l’été passé», glisse Jacques-André Chezeaux, président du Conseil de fondation de l’Institution des diaconesses. «Cependant, pour devenir un vrai village […]