Comment accueillir ce temps de carême, alors que les restrictions sanitaires frustrent déjà nos petits plaisirs quotidiens ?
Serait-ce la demande de trop? Alors que s’ouvre ce 17 février la période de carême, qui se poursuivra jusqu’au 4 avril, sa coïncidence avec les mesures de semi-confinement déjà en place en démoralise plus d’un. Pendant des mois, aucune sortie au restaurant n’a été possible, et la prochaine séance de shopping ou soirée entre amis ne peut être agendée à ce jour. Et ce, sans parler des craintes et des inquiétudes existentielles qui fragilisent beaucoup d’entre nous.
Faut-il dès lors vraiment renoncer volontairement à la viande, à l’alcool, à la nicotine, à la télévision ou aux sucreries en plus? «La crise du coronavirus s’est transformée en un exercice grandeur nature de dix mois pour apprendre à faire face à la souffrance, à la perte et à l’anxiété: nous avons plus […]