« Avec une amie on s’accordait jour après jour pour prier pour tel sujet ou telle personne. Puis je me suis aperçue que cela ne me convenait pas complètement », explique-t-elle. « Petit à petit, j’ai été amenée à prier de façon plus continue. J’essaie d’avoir cette attitude de cœur qui laisse l’Esprit saint prier en nous, qui donne davantage de place à ses élans. Je n’y parviens pas toujours, mais je connais des moments de grâce. » La ministre se ravise : « Peut-être s’agit-il simplement d’en prendre conscience, car je pense en fait que l’Esprit saint parle en chacun et chacune de nous, en chacun de nos soupirs. »
Véronique Monnard essaie de laisser place à la prière dans chacune de ses activités. Quand elle sent qu’elle arrive à saturation, elle prend un moment pour se balader. « J’aime bien bouger et c’est peut-être […]