C’est dans l’enceinte de la Fondation John-Bost que près de mille jeunes se sont installés pour quatre jours. La météo était au rendez-vous pour bien profiter de toutes les activités proposées.
Une infrastructure à la hauteur
Autour du chapiteau géant qui permettait de réunir tout le monde, plusieurs espaces temporaires avaient été installés. De véritables villages ont accueilli la zone repas, l’espace des tentes, les stands des partenaires, les zones de jeux et de repas, les sanitaires… Une infrastructure adaptée pour le plus grand plaisir des jeunes.
Il faut ici admirer le travail et l’implication des alter kiffeurs qui sont arrivés plusieurs jours avant pour transformer un terrain vide en un véritable village de festival. Rien n’a été laissé au hasard, ce qui a permis de profiter au maximum des activités proposées au fil des jours.
La journée d’un kiffeur
Après le réveil, la douche et le petit déjeuner, la journée commençait par un temps de culte. Au fil des célébrations, on a vu refleurir le désert. Du premier tas de sable à l’abondance des fleurs, le chapiteau s’est métamorphosé. En suivant, des petits groupes s’éparpillaient dans la verdure du camp pour un temps d’étude biblique. Le temps du repas était l’occasion d’un concours de chants (à celui qui chanterait le plus fort !) entre les différents groupes (scouts ou régionaux).
Puis commençaient les activités de l’après-midi. Entre temps libre et grands jeux, les jeunes ont pu découvrir, par exemple, l’espace des partenaires du Grand Kiff : Cimade, Fondation John-Bost, Defap, Église universelle et bien d’autres.
Le soir était réservé à des veillées qui proposaient de la musique, des spectacles, des temps de défoulements joyeux.
Des activités pour tous, permettant de découvrir ou d’approfondir son parcours personnel par et avec les autres.
Ce que l’on peut retenir
Pendant ces quatre jours, tous les jeunes présents ont vécu des instants de sérieux et de joie. Dans une grande bienveillance, ils ont pu se rencontrer, partager, débattre, jouer. Parmi les aménagements du site, il y avait des lieux de ressourcement spirituel ou plus personnel, mais aussi des stands de prévention. Une scène ouverte a permis à certains […]