L’actuel changement climatique a des répercussions étonnantes. L’enquête de Libération de juillet 2020 a montré que les investisseurs achetaient à tout va les terres agricoles de Bretagne. Pourquoi ? Pour y planter les futurs châteaux bordelais de 2025. Avec le réchauffement climatique, c’est sous ces latitudes que pourront s’épanouir les cépages tellement réputés…
Moustiques et maladies
Mais il y a plus g rave et plus inquiétant. Avec la chaleur qui augmente, de nouvelles espèces animales prennent pied et se développent dans notre pays – c’est le cas de certains arachnides et de certains moustiques. Et avec elles, des piqûres et des morsures provoquant des douleurs et des maladies nouvelles. Graves ! Ainsi, l’araignée « violoniste » qui sévit désormais – réchauffement oblige – bien plus au nord que sur le pourtour méditerranéen, ses terres d’affection. Ainsi, aussi, certains moustiques, porteurs de la dengue et du palu. Oui, du palu ! Les parasitologues français ont constaté en 2020 certains cas dans notre pays. Jusque-là, le paludisme sévissait principalement en Afrique. En 2019, sur 229 millions de cas, 94 % des 409 000 décédés habitaient l’Afrique.
Les enfants âgés de moins de cinq ans constituent le groupe le plus vulnérable touché par le paludisme ; en 2019, ils ont représenté 67 % des décès imputables au paludisme dans le monde (soit 274 000).
Bonne nouvelle ?
La découverte de cette maladie sur le sol français est peut-être une bonne nouvelle, un évangile… On sait que les labos pharmaceutiques ne mettent guère de moyens pour trouver un remède que les malades, africains et indiens majoritairement, ne pourraient pas payer. Toutes les maladies n’ont pas la chance du Covid ! Mais les choses vont peut-être changer avec le réchauffement climatique. Si les Occidentaux sont eux aussi atteints par le palu, alors la recherche va se mettre en route, sentant le profit en bout de course. Et, au final, il y a de grandes chances que les vaccins trouvés bénéficient à l’Afrique et à l’Asie, sauvant ainsi 400 000 personnes par an. Une façon de « transformer le mal en bien ». Que ce ne soit pas une raison pour ne pas tenter, guidé par l’Esprit et la Parole de Dieu, de faire le bien sans attendre le mal…