S’il vous plait, un peu de communication dans une ambiance respirable lorsque les médias se font répétitifs et amplifient l’écho des mauvaises nouvelles. Alors si parfois les contenus de facebook peut me paraître un peu superficiels, et si ma fréquentation, dans un moment d’isolement où le besoin de relation et d’information se fait sentir, peut comporter un danger d’addiction, au total, c’est finalement une ressource bénéfique puisqu’au fil du temps, un réseau assez divers a pu se développer. Et d’abord, l’à priori positif qui est privilégié à travers le rôle donné aux «like» éduque mon regard et suscite une démarche d’appréciation et de participation. Et puis, si les nouvelles importantes apparaissent immédiatement, elles sont en quelque sorte filtrées par une réception humaine . Alors, si « la pêche » sur facebook me paraît maigre assez souvent, il y des moments aussi où j’y trouve un texte, une vidéo, une photo à partager et à répandre. Et parfois, c’est une piste, une ressource signifiante. Et puis, ne l’oublions pas, si je n’ai pas rencontré physiquement la grande majorité de mes « amis » de facebook, une fréquentation régulière de leurs messages me permet d’entrevoir leur vie et leur personnalité. C’est donc un regard amical que je porte. J’ai conscience que ce qu’ils communiquent peut être interprété comme un cadeau de leur part. Ils me font part de ce qui leur tient à cœur.

Je suis venu à facebook individuellement, il y a une décennie. A l’époque, je créais les blogs : « Vivre et espérer » et « L’Esprit qui donne la Vie ». Je ressentais un besoin de partage et de relation. J’y suis arrivé seul et, peu à peu, j’y ai retrouvé certains amis (C P) (1), certaines connaissances (D P), certains collègues (L S C). Rencontres bienvenues, mais je ne suis pas arrivé là comme […]