Vous connaissez surement cette phrase de Georges Brassens qui résume cette histoire de l’Évangile de Jean en disant, ne jetez pas la pierre à la femme adultère car je suis derrière.

Et effectivement ça résume bien le propos d’un récit ou finalement l’accusée -la femme- et les accusateurs -les scribes et les pharisiens ce jour là- sont placés sur un plan d’égalité. Ceux qui sont pris au piège des jugements hâtifs que l’on porte sur les autres ou qui sont portés sur nous et vous enferment !

Ces jugements hâtifs pendant lesquels on ne laisse pas la place à l’autre pour qu’il puisse s’expliquer ni pour que la pensée puisse évoluer mais au contraire quelque chose qui est déjà décidé et qui en général, amène encore aujourd’hui amène à des phénomènes non pas de lapidation mais de lynchage médiatique dans des journaux, à la télévision, sur internet ! […]