Le choix de la Rwandaise Louise Mushikiwabo à la tête de la Francophonie, dont le sommet vient de se tenir dans la capitale arménienne, est une mauvaise manière mais peut, à certains égards, s’avérer une bonne décision.

Mauvaise manière d’abord car ce choix a tout du fait du prince, autrement dit d’Emmanuel Macron. Fin mai, la messe était dite, le nom de la future secrétaire générale confirmé à l’issue d’une rencontre entre le président français et le président rwandais à l’Élysée, puis […]