En politique étrangère, l’Ayatollah Khomeini avait été clair : refuser de s’aligner sur l’est (communiste) ou sur l’ouest (capitaliste et pro-américain). L’indépendance face aux grandes puissances était au cœur d’un système qui se voulait radicalement différent.

La déclaration de son successeur Ali Khamenei, le 19 février 2018, n’en a été que plus frappante : « en politique étrangère, parmi les principales priorités pour nous aujourd’hui se trouve le besoin de préférer […]